Lectures infinies

Théâtre de l’Élysée
Samedi 22 et dimanche 23 octobre
À partir de 10h 

Gratuit sur inscription
Bar et restauration sur place

Écritures contemporaines, regards critiques, recherches et vigilances théâtrales, Sens Interdits explore ces terrains depuis sa création en 2009. Des Balkans au Caucase, des confins soviétiques au Moyen-Orient, les Éditions L’ Espace d’un instant, et son éditeur Dominique Dolmieu, traduisent et publient des textes dramatiques qui disent le monde depuis 20 ans.

Ce week-end sera l’occasion de découvrir une sélection d’ouvrages de cette maison d’édition, en lien direct avec les questionnements de Sens Interdits.

Lus par des élèves d’écoles de théâtre et de conservatoires ainsi que par des amis de Sens Interdits, ces textes seront présentés dans leur version française. Des extraits seront aussi proposés en langue originale pour apprécier la richesse linguistique.

Samedi 22 octobre

  • 10h à 13h – DISCUSSION avec Dominique Dolmieu, directeur et fondateur des éditions L’ Espace d’un instant, animée par Nadja Pobel et Patrick Penot.
  • 15h à minuit – LECTURES textes lus en français et souvent en langues originales : Afghanistan, Biélorussie, Kosovo, Lettonie, Macédoine du Nord, Russie, Turquie, Ukraine…
    Découvrez le programme détaillé des lectures
    La langue de mon père de Sultan Ulutas Alopé, lu par l’auteure

Dimanche 23 octobre

  • 10h à 13h – LECTURE en duplex depuis Gaza par des jeunes auteurs palestiniens et des comédiennes lyonnaises des Monologues de Gaza de Iman Aoun, Edward Muallem et Ali Abou Yassin, traduit de l’arabe (Palestine) par Marianne Weiss.
    En collaboration avec l’Institut Français de Jérusalem à Gaza,
    avec le soutien de la Maison d’Europe et d’Orient.
  • 15h à 17h – CRÉATION ARTISTIQUE ET PRATIQUE AMATEUR Penser les oeuvres et la création en positionnant les citoyens au centre. Discussion et échanges autour du faire ensemble avec des acteurs engagés.
  • 18h – CARTE BLANCHE à la Compagnie Waninga, dans le cadre de la Biennale Traces.
    Extraits des pièces Gambela – Saxe Gambetta et La cité renversée

Programme des lectures des éditions L’ Espace d’un instant :

15h – Mauvaises routes, de Natalka Vorojbyt, traduit de l’ukrainien par Iryna Dmytrychyn, avec le soutien de l’Odéon – Théâtre de l’Europe

15h30 – Baril de poudre, de Dejan Dukovski, traduit du macédonien par Frosa Pejoska, avec le soutien du Centre national du livre

16h – Rose is a rose is a rose is a rose, d’Ivana Sajko, traduit du croate par Miloš Lazin, Anne Madelain et Sara Perrin, avec le soutien du ministère de la Culture de la République de Croatie

16h30 – Les Voisins, de Sergueï Guindilis, traduit du russe par Boris Czerny, avec le soutien de l’Institut universitaire de France

17h – La langue de mon père de Sultan Ulutas

18h15 – Gravité de Mîrza Metîn, traduit du kurde par Attila Balikçi, avec le soutien de la Maison d’Europe et d’Orient

18h45 – Amalia respire profondément, de Alina Nelega, traduit du roumain par Mirella Patureau

19h – Le Projet Handke, de Jeton Neziraj, traduit de l’albanais (Kosovo) par Sébastien Gricourt, avec le soutien de la Maison d’Europe et d’Orient

20h – Gangrène, de Wadiaa Ferzly, traduit de l’arabe (Syrie) par Marguerite Gavillet Matar, avec le soutien de la Maison d’Europe et d’Orient

21h – La Récolte,
de Pavel Priajko, traduit du russe (Biélorussie) par Larissa Guillemet et Virginie Symaniec, avec le soutien du Centre national du livre

21h30 – La Valise vide, de Kaveh Ayreek, traduit du dari (Afghanistan) par Guilda Chahverdi, avec le soutien de la Maison Antoine-Vitez

22h – Sivas 93, de Genco Erkal, traduit du turc par Selin Altıparmak, avec le soutien de la Maison Antoine-Vitez

Lectures tout au long de la journée – Patriotric Hypermarket, de Milena Bogavac et Jeton Neziraj, traduit de l’albanais et du serbe par Arben Bajraktaraj et Karine Samardžija, avec le soutien du ministère de la Culture de la République de Serbie